Joyeux Noël 2009!!

Je me demande bien ce qu'il peut bien avoir à l'intérieur de ces mystérieux paquets...! =)

ADK automne 2009

Voilà, ça y est. La fin de semaine tant attendue est arrivée et je rejoins Ryan à Lachenaie vendredi soir afin de pouvoir partir tôt samedi matin. Après 2h30 de route et un petit déjeuner dans une boulangerie située à l'entrée du village de Keene Valley dans l'état de New York, Ryan et moi sommes fins prêts pour débuter notre séjour dans le parc des Adirondacks.
Backpacks sur le dos, bottes et battons de marche ajustés, il est 9h50 et c'est un départ. Notre première journée consiste à couvrir les 10.3 km de distance qui séparent le début de la trail et Slan Rock, l'endroit convoité pour y installer notre camp de base. Dame Nature nous avait réservé une fine pluie pour une bonne partie de la journée, contribuant ainsi à détremper le sol et à le rendre boueux. Heureusement, Dame Nature nous aura aussi combler de bonheur lorsqu'en milieu d'après-midi, elle nous a présenté son plus beau soleil. Une chaleur et une luminosité qui tombe à pique puisque nous étions en train de déguster notre diner.

Cinq heures après notre départ nous arrivons enfin au camp de base. La tente prend forme, le souper est préparer, nous sommes content de notre journée. Malgré les sacs à dos remplis au maximum, nous avons gardé une cadence assez rapide tout au long de la journée. Ce n'est que peu de temps après avoir souper que nous nous installons confortablement dans nos sacs de couchage pour passer la nuit.

Toujours à la conquête de nouveaux défis, Ryan suggère d'aller assister au lever du soleil en direct du sommet principale de notre périple, le Mt Marcy. Quelle idée fantastique! Réveil à 4h00 du matin, petit déjeuner, on fait réserve d'eau et c'est un départ. Malheureusement, nous sommes en retard sur le soleil et il est déjà rendu 6h15 lorsque nous quittons le camp de base. Énervés par le nouveau et le challenge de la randonnée matinale à la frontale, Ryan et moi sommes en train de vivre une expérience que peut de gens peuvent se venter d'avoir vécu. Toute la journée, nous serons les premiers à fouler les sentiers et les sommets dans la direction empruntée.

8h30, dimanche matin, nous sommes à plus de 1600 mètres d'altitude sur le plus haut sommet de l'état de New York. Nous sommes dans un nuage, dans le milieu d'une averse de neige et nous nous faisons ventiler les idées pour la peine! Le spectacle est grandiose : on ne peut voir plus de 5 mètres à la ronde, il y a de la glace partout, le vent nous bouscule dans toutes les directions. Il nous faut trouver les marques qui nous guideront vers les arbres, à l'abri du vent, quelques 500 mètres plus bas.

Au moment d'atteindre la ligne des arbres, un autre cadeau de Dame Nature nous est offert. Le rideau de nuage qui nous empêchait d'apprécier la vue est balayé d'un coup nous révélant ainsi toute la splendeur du Mt Skylight qui se dresse devant nous.

Originalement, ce dernier devait faire partie de notre itinéraire. Une petite boucle de moins de 2 km aller-retour devait nous mener au sommet de cette montagne. Cependant, pour des raisons de sécurité - compte tenu des conditions météo du moment - nous avons décider de poursuivre vers les deux autres sommets qui nous attendaient : Mt Haystack et Little Haystack.

À 10h00, Dame Nature nous gâte encore et pousse tous les nuages du ciel et laisse paraitre un soleil qui est plus que le bienvenu. Trois heures plus tard, nous atteignons le premier sommet de Haystack. Le sentier était sincèrement le plus beau que nous avions fait jusqu'à ce moment, mais aussi le plus technique et le plus raide.
Quelle vue une fois sur le sommet! La grande sœur Marcy à de quoi être jalouse de ses cousins Haystack. La vue est panoramique et nous couple le souffle. Le cap de roche de cette montage nous permet de témoigner de la splendeur de l'automne dans ce parc.
16h30, de retour au camp de base avec 9h30 de marche derrière la cravate. Nous aurons alors parcouru 10 km, franchis 3 sommets de plus de 1400 mètres d'altitude chacun et dépensé beaucoup d'énergie! Opération séchage de bas et préparation de notre dernière journée avant d'aller se coucher.

Lundi matin, 4h00, c'est le réveil. Petit déjeuner rapido, on ferme boutique et on rassemble tout notre matériel dans nos sacs à dos. 6h15 et c'est un départ à la frontale. 4h00 plus tard, soit en une heure de moins qu'à notre arrivée samedi, nous atteignons le stationnement et sommes heureux d'avoir accompli ce qui est, à ce jour, la randonnée la plus techniquement et physiquement éprouvante que Ryan et moi avons réalisée.

Mont Marcy, NY : Challenge #2

Lors de la fin de semaine de la fête du travail 2008, Ryan, Karine et moi nous nous étions attaqués au mont Marcy, toit de l'État de New York (archives). Cette année encore, Ryan et moi retentons l'expérience...

Cette fois, nous planifions y aller lors de la fin de semaine de l'Action de grâce; expérience automnale fraiche! De plus, nous avons comme objectif de gravir les trois autres sommets avoisinants le mont Marcy, soit les monts Skylight, Haystack et Little Haystack.

Projet de 32km horizontaux pour 1864 métres verticaux (+ et - ... puisque tout ce qui monte doit nécessairement redescendre!)

Détails à venir...

Profil horizontal et vertical des journées #1 et 2 :
Aller-retour entre le stationnement et le bivouac (10km).

Profil horizontal et vertical de la journée #3 :
Boucle de 12km entre le bivouac et les 4 sommets.

Canot-camping : De retour...

Wow! Quelle belle expérience que fut le canot-camping. Toutes les conditions étaient réunies : la météo, la compagnie (Julien et Véro), le canot, la rivière et les truites!

De niveau facile - débutant - cet itinéraire était parfais pour un premier contact. Aucun portage à faire puisque le niveau de l'eau était trop bas, aucune manœuvre nautique technique. Malgré cela, Karine et moi avons tout de même trouvé le moyen de faire une collision frontale avec une grosse roche qu'il nous était possible de voir 500 mètres d'avance! Ah que voulez-vous!

Personne n'a pris l'eau, Julien n'a pas perdu sa baguette cette fois-ci, les filles ont eu un peu froid (3°C la nuit) et moi j'étais debout tôt, car j'ai pour mon dire qu'en camping, le meilleur moment, c'est en même temps que le réveil de la nature.

Je parlais de truite, eh bien imaginez-vous que c'est en fin de semaine que Julien c'est initié à la pêche à la truite! J'avais mon attirail de pêche, j'ai fait 1 ou 2 lancer ET VOILÀ!! Julien n'en s'est pas remis! eheh! On lui a donc fabriqué une canne à pêche de fortune et avec une ligne morte qu'il tenais à mains et un Bob-it, il nous a pêcher un apérot de sushi d'omble de fontaine frais! Bravo Julien!!

Extraits du Journal de Karine :

• «Julien, lui, il l'a vu la trail. "Hey Popo! c'est par ici!" Et voilà 4 touristes qui se lancent dans le wild pour regarder la vue tout au haut de la chute.»
• «J'ai failli me tuer avec ses "Popo regarde-ci" "Popo reagrde-ça". Au bout d'une demi-heure d'axphysie et de larmes dû aux "Popo" lancés assidument de la bouche de Julien, nous sommes retournés sur nos pas : le wild off trail venait de gagner sur nous.»
• «Les 2 gars sont revenus après 2 heures de pêche avec 2 truites minuscules!»
• «Pendant que Popo et Juju jouent à leur Wilder than the wildest wild, Véro et moi tachions de ramener les bagages à bon port.»
  

Canot-camping à St-Raymond

Ce qui s'annonçait comme une fin de semaine relax va finalement être une superbe fin de semaine de canot-camping en compagnie de Véro et Julien.

Je laisse donc ici les traces de notre itinéraire prévu pour les journées de samedi et dimanche (5 et 6 septembre). Comme à l'habitude, un récit complet avec photos sera écrit ici pour votre plaisir dès le début de la semaine prochaine...

1. Départ de Lévis à 7h30;
2. Départ de la navette de l'accueil Cantin de la Vallée du Bras-du-Nord;
3. Descente de la rivière sur une portion de 9km samedi;
4. Dodo camping en plein milieu de nul part samedi soir;
5. Suite de la descente de la rivière;
6. Arrivée à Lévis prévue en fin de journée dimanche, avant souper.

À bientôt!

Sentier des Caps : jour 3

C'est rare, pour nous qui habitons sur le côté sud du fleuve St-Laurent, d'avoir droit à des superbes levers de soleil. Malgré le point de vue où nous nous situons ce matin, il nous est possible d'observer que l'épais brouillard qui couvre la totalité de notre champ de vison. Ça sera pour une prochaine fois!

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Aujourd'hui, c'est une petite journée bien méritée. Le refuge l'Abattis se trouve à 6.9km. Le sac de nourriture étant moins lourd après 6 des 9 repas de mangés, nous marchons d'un pas décidé vers notre lieu de repos pour la journée.

Moins d'une trentaine de minutes après notre départ, le soleil décide enfin de se pointer le bout du nez. Mais quel soleil! Il va faire chaud aujourd'hui! Deux surprises nous attendent alors. La première, il y a beaucoup moins de bouette sur ce tronçon que sur les précédents 20.1km. Ça fait du bien. La deuxième, on arrive au refuge, presque 7km plus loin, en 2h30 (2.8km/h).
Après une petite sieste, nous décidons de poursuivre sur une autre lancée et se rendre jusqu'au dernier refuge disponible avant la voiture. Une marche de 7.2km sur le sommet du Massif en 2h05 (3.5km/h). Nous sommes impressionnés par notre 'performance'.
Un bon petit souper plus tard, 2-3 parties de cartes que Karine gagne, et juste au moment où je m'apprête à gagner, Karine décide d'aller coucher à Lévis! Décision prise à 19h00, à peine une heure avant le coucher du soleil - qui se trouve déjà derrière les montagnes - et départ immédiat afin de tenter d'éviter la noirceur. Il nous reste alors 4.2km et 700 mètres de dénivelé vertical avant la voiture. Go, go, go!!

Une heure et quart plus tard (3.36km/h) ,nous voilà arrivé à la voiture avec rien de moins qu'une demi-journée d'avance sur notre planification initiale.

Extrait du journal de Karine :

• Party de mulots la nuit dernière, il y en avait même qui criaient
• 6.9km + un changement d'idée 7.2km (la madame va nous chicaner, nous n'avons rien respecté)
• Nous avons développeé une bonne stratégie : sieste et consensus sur l'heure du diner
• J'ai vu, pour la première fois de ma vie, un porc-épic
• PO dit : "à certains moments, je dois courir pour te rattraper!"
• Il faut beau, tellement chaud : rappelez moi de ne plus jamais écouter la météo
• Finalement, nous avons fait 4km de plus et avons dormis conformtablement à la maison (sans mulots)

Sentier des Caps : jour 2

Sur les traces de l'orignal, au bruit du tonnerre.

Après avoir passé une petite nuit sur les tables à pique-nique du refuge du cap Gribane, le réveil se fait la tête dans les nuages. C'est le moment de constater les domages que la pluie aurait pu faire. Aie!! Un marécage entoure le refuge, les sites de camping sont de vraies barboteuses; il y a de l'eau partout au sol. Heureusement, le lever du soleil rend le paysage sympathique.

9h00 : le petit déjeuner est déjà derrière la cravate, et il est temps de partir. On prend notre courage à deux mains et ça y est : les deux pieds dans la bouette, nous sommes sur une lancée! Objectif de la journée : un refuge situé à l'Anse-aux-Vaches 7.7km plus loin.

Tout le long du sentier, il nous est possible de voir de nombreuses traces d'orignaux : de gros sabots dans le sol gorgé d'eau et de généreux tas de crottes disposés ici et là dans le sentier. Peut-être serons-nous chanceux et allons en apercevoir un dans la forêt? On arrive à l'Anse-aux-Vaches beaucoup plus tôt que prévu, soit à 12h30 (2.5km/h).L'excellent diner trop lourd que ma blonde nous avait amoureusement préparé est succulent et nous redonne tellement de force physique et morale que nous décidons de quitter ce refuge pour rejoindre l'autre, situé quelques 6.0km plus loin. Ainsi, nous profitons du momentum qui est de notre côté et nous nous préparons une plus petite journée pour le lendemain.

(Avant de poursuivre, mettons quelque chose au clair. La bouette n'est maintenant plus considérée comme un imprévu, mais plutôt comme un inévitable.)

Ces 6.0km ne se font pas sans imprévus. Premier imprévu prévisible : le tonnerre. Dès notre départ, et ce, jusqu'à tard en soirée, le tonnerre a été de la partie. Menaçant par moment, il nous était sans danger puisque les nuages étaient d'un côté et de l'autre de la crête sur laquelle le sentier nous menait. Deuxième imprévu prévisible : l'orignal. Lorsqu'il a déguerpi en nous voyant, il a fait trembler le sol et le bruit que les arbres ont fait sur son passage reproduisait celui que l'éclair fait lorsqu'il fend le ciel. Il nous a tout de même foutu toute une frousse!

L'arrivée au refuge du Cap du Salut se fera sous la pluie qui nous aura finalement rattrapée, environ 1km avant le toit du refuge.
Une autre nuit sur les tables à pique-nique. Les mulots font un party à l'étage!!

Extrait du journal de Karine :

• départ dans la bouette, dans beaucoup de bouette, des marais de bouette
• parti à 9h00, arrivée à 12h30; pour 7.7km, c'est pas mal
• nous avions des superbes vues sur la brume et sur les excréments
• il y a d'autres campeurs sur le site du Cap du Salut
• Je ne croyais pas qu'autant d'eau pouvait tomber du ciel en un seul coup

Sentier des Caps : jour 1

Après avoir dû reporter le départ à cause de la météo, il était maintenant venu le temps d'y aller. Cette fois-ci, c'est une "longue randonnée" qui nous attendait le long du Sentier des Caps.

Prenant pour origine la ville de St-Tite-des-Caps, et se concluant dans le village de Petite-Rivière-St-François, les 40km du sentier nous mèneront de cap en cap sur la rive nord du St-Laurent.
C'est un départ! Première journée assez pénible...Les muscles sont durs à réchauffer, les sacs à dos ne se placent pas comme il le faut sur nos dos, c'est humide et chaud et on ne sait pas trop comment s'y prendre.

6.4km plus tard, nous arrivons enfin au Cap Gribane, notre camp pour la nuit. C'est un très beau site avec toutes les commodités : bois de chauffage, tables à pique-nique, immense refuge.
Originalement, le voyage était planifié de la sorte : nuit#1 et #2 camping, nuit #3 refuge (on a pas le choix). Cependant, puisqu'il n'y avait personne d'autre que nous sur ce tronçon du sentier, nous avons décidé de ne pas déplier la tente et de dormir dans le refuge. Cela a été le meilleur des choix à faire, car à 3h00 du matin, un déluge nous est tombé sur la tête. C'était tellement d'eau de pluie en un seul coup que c'est difficile à décrire et à imaginer!

Extrait du journal de Karine :

• bouette, beaucoup beaucoup de bouette
• les sacs sont lourds; PO dit que c'est mon menu qui n'est pas assez léger, mais quand vient le temps de manger, il ne se plaint pas!
• en camping, l'apéro, c'est essentiel
• j'ai fait d'énorme progrès : j'ai avoué ma peur des grenouilles à une grenouilles
• magnifique, le fleuve, les îles, la vue et, biensûr, mon chum qui a de la difficulté à partir son feu. " Le bois est trempe", dit-il
  
• dans le refuge, il y avait des mulots, beaucoup de mulots. Nous avons donc dormi sur les tables à pique-nique. J'étais terrorisée!!
• Il a plu, mais quelle intensité, là aussi, j'étais terrorisée.

Mont Albert : La revanche

C'est l'année dermière que Karine s'est fait avoir par le mont Albert. Cette année, ce sera une autre histoire.

Une fenêtre météo tout de même intéressante et des amis qui sont plus qu'intéressés à nous suivre pour un petit séjour dans les Chic-chocs pour une randonnée sur le mont Albert et nous voilà sur la route, direction le Parc de la Gaspésie.

L'enthousiasme de nos partenaires de randonnée se faisait ressentir et était plus qu'agréable. Même s'il s'agit de leur premier sommet (1000m et +), vous auriez dû les voir marcher. Génial! Merci encore pour votre agréable compagnie et au plaisir de partager d'autres aventures avec vous.

Que dire de Karine...Wow! Elle ne se fera plus jamais avoir par une montagne, laissez-moi vous le dire. L'année dernière, elle a été prise avec la garde un peu basse. Cette année, c'est avec une volonté d'acier et une forme physique inégalée que Karine s'est lancée sur les sentiers du mont Albert. Les quelques 19.9km de la boucle reliant le sommet à notre terrain de camping ont été réduits en bouilli sous les bottes de ma blonde.

L'Everest, attache ta tuque!!

P.S.: Tous les quatre, on pense avoir aperçu un caribou au loin sur la table de moïse, mais après avoir regardé attentivement toutes les photos que j'ai prises, ça ressemble énormément à une roche...Mais pourtant on l'a tous vu bouger la tête. Je ne comprends pas...

Escalade à Kamouraska

Ça nous aura pris 3 tentatives afin d'en profiter au maximum - les 2 premières ayant été la météo et le manque d'expérience - mais nous avons enfin pu faire de l'escalade à St-André-de-Kamouraska.Une fois sur les lieux, nous avons grimpé 3 voies :

1. Le sexe des anges, 5.7 : Une petite voie d'environ 5-6 mètres avec des prises moins évidente que prévu;
2. Lâché lousse, 5.7 : Une voie un peu plus longue (8-9 métres) avec une superbe fissure latérale pour facilité l'ascension;
3. Hocus Pocus, 5.6 : Une voie dite 'classique' à Kamou. 25-30 mètres de haut avec de très nombreuses et de très rassurantes prises. Un bon contrat et un feeling incroyable!

Nous avons fini la journée autour d'une bonne bière de chez Breughel, un excellent petit souper, un coucher de soleil incroyable et un dodo sous la tente...

Toute une pêche!!

Aujourd'hui, j'étais tellement malade que je me suis réveillé sur le divan de mon frère à Rivière-du-Loup! Nous sommes allé pêcher...

Quelques surpers prises dans le basin derrière la scierie, mais une GIGANTESQUE mouchetée capturée dans un tuyau d'aluminium sous la route! 12 pouces et demie, 2 pouces et demie de bedaine, impressionnante la truite!

Toute une pêche mon frère!! À quand on remet ça?

Un autre dimanche de pêche!

L'expérience de la semaine dernière a fait remonter mon frère samedi en prévision d'un autre dimanche de pêche.

La météo des derniers jours nous a cependant joué un tour. Arrivé à notre spot de pêche, surprise! La rivière est tellement haute qu'il nous est impossible d'accéder à un endroit où la pêche avait été bonne.

Ce n'est pas sans déception que nous avons tenté quelques lancés ici et là, mais en vain. On a donc profité de la journée pour prospecter la rivière Chaudière. De St-Lambert à St-Nicolas, d'un côté de la rive à l'autre, nous avons exploré quelques uns de ses racoins.

La trouvaille du jour : la pêche à la barbue! Le truc du pêcheur du jour : un morceau de foie de poulet sur un jig, tu lances dans le fond, tu attends 30 secondes, tu ferres!

Donc, en une journée, une dizaine de barbue entre 12 et 21 pouces (entre 2 et 4 livres).

Ah oui!
J'ai failli oublier de vous dire à quel point une barbue, c'est laid!!!!Mais on dirait bien qu'il y en a qui aime ça plus que d'autres!!

La pêche avec mon frère, c'est ça que ça donne!!

Au début de l'automne, mon frère et moi étions allés essayer de pêcher dans la rivière Chaudière, non loin de mon nouvel appartement. Résultat : un beau petit doré de 14 pouces avait fini sa vie sur mon BBQ.

Cette année, plus que jamais, la fièvre de la pêche nous à tous les deux atteints. Résultat : nouvelles cannes à pêche, nouveaux leurres et gadgets. Il nous restait qu'à attendre le 15 mai, ouverture de la pêche au doré dans la région.

Hier soir, mon frère arrive de chez-nous, on prépare la voiture et on planifie la journée d'aujourd'hui. L'intention : pêcher nos quotas de dorés pour faire un super souper.

Les prises :

1. 8h02
2. 9h12
3. 9h21
4. 9h45
5. 12h18 *le plus gros
   
6. 13h22
7. 17h10

Par inadvertance, tout ce que nous avons pêché, c'est de l'achigan (longueur : entre 14 et 16 pouces; poids : entre 2.5 et 3.5 livres). Vous pouvez voir toute la déception sur nos visage!

Je rassure tout le monde, nous sommes au courant des dates d'ouverture de la pêche à l'achigan et avons, par conséquent, remis à l'eau toutes nos prises. Aucun poisson n'a été tué ou gravement blessé lors de notre pêche au doré d'aujourd'hui...

Sentier National - Tronçon Rimouski-Neigette

Ouvert l'année dernière, un tronçon de 12 km du Sentier National du Québec prend origine à la chute Neigette et se termine au Mont-Comi.

C'est en ce doux samedi de printemps que j'ai invité ma mère et Karine à venir marcher avec moi pour découvrir ce bout d'arrière pays de Rimouski.

En un avant-midi, nous avons marché sur 4 km, découvert un très joli sentier, goûté aux premières couleurs printanières et initié ma mère à la randonné pédestre!

À suivre....

P.S.: Ne pas remettre en question mon look d'enfer!

Une nuitée au Fairmont Manoir Richelieu

Cette fois-ci, Karine nous a organisé rien de moins qu'une nuitée au Manoir Richelieu dans la merveilleuse région de Charlevoix.Malgré tout le luxe qui nous était accessible, j'ai quand même réussi à faire sortir ma blonde pour une petite randonné pédestre sur le bord du fleuve!

Résumer de la journée :

• Spa extérieur chauffé (40°C)
• Piscine
  
• Souper chic
• Dodo dans un trop grand lit!!
  
• Vue splendide sur le fleuve

Été 2009, partie 2/4

J'ai terminé hier le tune-up de mon vélo :

• Nettoyage complet des dérailleurs avant et arrière
• Dégraissage / regraissage de la chaîne
• Ajustement des freins et des leviers de vitesses
• Changement de pneus (maintenant chaussé avec des Michelin Pro3 Race, rouge)

Objectifs pour cet été :

1. Au moins 3 sorties par semaine, quelles soient courtes ou longues
2. 1500 km (minimum ... et considérant que l'été dernier j'en ai fait que 330)

Encore sur le bateau - Jour 6

Ayant adoré notre première expérience et étant dans un paradis pour marins, nous avons décidé de louer le bateau pour une seconde journée. L'expérience acquise lors de l'excursion de mardi dernier nous permet aujourd'hui de profiter encore plus de notre Boston Whaler.

Cette fois-ci, la température est vraiment très belle. Peu ou pas de nuages, gros soleil et pratiquement pas de vent.

Direction les grottes sous-marines que nous n'avions pas pris le temps d'explorer mardi. Mais avant de découvrir de nouveaux horizons, un détour par une source trouvée lors de notre premier passage est de mise (photo ci-contre). Derrière la roche en forme de pyramide se trouve une grotte de bonnes dimensions. De cette grotte, un fort courant d'eau assez chaude émerge. Combiné à a topographie du coin, c'est vraiment la meilleure place pour observer des centaines de poissons. Cette fois-ci, en plus des petits poissons tropicaux qui affichent toutes les couleurs, nous avons eus droit à un Nassau Grouper - une espèce protégée - de même qu'à un poisson-ballon - ceux qui ont des piquants et qui se gonflent. Julien a même trouvé une langouste cachée dans la grotte! Il est possible de voir, sur cette photo, une teinte un peu plus foncé au beau milieu de la mer. Il s'agit en fait d'une fausse, d'une autre grotte sous-marine. Celle-ci étant beaucoup plus grande et beaucoup plus profonde, on y a vu d'autres espèces, dont un gros prédateur qui devait faire dans les 48-50 pouces...Une pas pire prise!

Il nous a été aussi possible de trouver notre prochain moyen de transport. Julien et moi avons commencé à magasiner les voiliers pour notre prochaine visite dans le sud! Voici deux exemples de maison flottante qui nous plairait.Enfin, c'est une fois stationné sur le bord de la plage que Julien me dit : "POP, si tu veux voir quelque chose de gros, c'est le temps de sauter à l'eau!!" Une Stingray de bonne dimension était couchée dnas le fond de l'eau non loin de la plage.

Peu de temps après, elle venait faire son tour, avec ça petite famille, près de la rive et du bateau. Toute une rencontre!!

Hiking Stocking Island - Jour 5

On commence la journée avec une visite éclair au marché aux puces du coin. On fait aussi quelques boutiques histoire d'être en mesure de faire des heureuses à nous retour au Québec... Mis à part tout ces souvenirs made in china, il y a un coquillage ou deux à 10$, des cartes postales à 2$ et des t-shirts à 15$. Julien et moi finissons par trouvés quelque chose avec un peu plus de potentiel : notre prochain look!!!

Ceux qui me connaissent le savent maintenant, je ne peux pas partir sans qu'il y ait un peu d'aventures et de randonnées! Le voyage au Bahamas ne fait donc pas exception...


Rasta Julien et Rasta POP on donc profité de la journée de mercredi pour aller visiter l'île d'en face, Stocking Island. Sur cette dernière, on ne retrouve que des plages, des petits restaurants construits de palettes (!) et une marina/resort. C'est grâce à Elvis, le chauffeur du water taxi, que nous sommes capable d'atteindre l'île en question.

On décide de débarquer à St-Francis, le restaurant de la marina. On se paye alors un gros luxe : un hamburger. Surprise, la boulette de steak haché arrive entre 2 tranches de pain sandwish avec une rondelle de tomate verte. On a donc mangé un hamburger style grilled cheese!

Quoi de mieux que la marche pour facilité la digestion? L'île fait à peine 300 mètres de largeur. On emprunte donc un sentier qui nous facilite la traversé. Une fois l'autre côté atteint - côté océan - on a marché sur des plages désertes. Le sol est couvert de nombreux coquillages et de vestiges de coraux morts. Après avoir marché sur presque le tiers de la longueur totale de l'île, on a rencontré un sentier : l'Intripid trail. Qualifié d'intripide par ceux et celles qui l'on ouvert, je vous dirait qu'il s'agit bien plus d'une marche de santé pour quelqu'un qui, comme moi, à quelques sommets de +1000 mètres derrière la cravate! Ce sentier nous a tout de même mené jusqu'au sommet des Exumas : une majestueuse bute de 35 m!!

Un autre sommet conquis à rajouter à mon palmarès.

On termine la journée avec une petite Kalik bien froide à la marina en attendant le retour d'Elvis. Mais la Kalik s'en vient un peu trop redondante pour Julien qui décide alors de prendre un drink de la place. Son fameux Rhum Punch contenait pas moins que 4 onces de rhum pour 2 onces de jus. Laissez-moi vous dire qu'il a presque roulé jusqu'au bateau après!!! hehe! =)

De passage à l'épicerie, nous avions envie d'un autre repas chaud. Pas de sandwish pour le souper, il nous faut trouver un moyen de faiire chauffer notre bouffe. Euréka! Me suis-je dit!! Une bouteille de fanta gosser à la manière du parfait randonneur avec un peu d'alcool à friction et nous voilà équippés d'un réchaud à alcool. Chef Boyardi chaud devant!!